La Terre a gagné quelques semaines de répit dans l’exploitation de ses richesses géologiques grâce au formidable coup de frein que les dirigeants du monde entier ont imposé à leurs économies pour limiter la circulation du virus.

La civilisation humaine a ouvert plus largement les yeux sur la folie de sa course à la consommation autour du globe, et de multiples richesses de proximité ont pu se révéler, comme la solidarité entre voisins, ou la pertinence des circuits courts.

Des modes de travail plus économes en déplacements ont séduit de nombreux salariés : télétravail, vidéo-conférences, e-learning.

Des lourdeurs administratives ont été effacées, et des services à distance se sont multipliés.

De nouvelles opportunités se sont présentées aux entrepreneurs, pour répondre aux nouveaux besoins de la lutte contre le virus et aux besoins de la vie confinée puis déconfinée.

Mais,

Des dizaines de règles sanitaires érigées en protocoles ont été établies par des autorités soucieuses de ne pas se voir reprocher la moindre négligence sanitaire, et sont venues complexifier le fonctionnement des entreprises et des collectivités.

Elles aboutissent à 3 résultats :

• Des situations ubuesques, où des enfants sont entravés par des carrés de craie dans la cour de l’école, où des badauds portent un masque dans la rue commerçante mais pas dans les commerces de la rue…
• Des rejets des règles dès que la police n’est plus présente.
• Des surcoûts significatifs (on parle de 20 à 30%) dans l’exploitation des entreprises, avec une quasi-impossibilité de retrouver un fonctionnement à un régime comparable à celui d’avant la crise.

Pourtant,

Le respect de règles sanitaires strictes est une contrainte déjà largement intégrée dans le secteur de l’agro-alimentaire, avec 3 résultats :

• Une cohérence des comportements, compatibles avec l’exercice du métier et le niveau de risque effectif de chaque situation.
• Une permanence des comportements, du fait d’une sensibilisation et d’un professionnalisme des acteurs.
• Des surcoûts raisonnables, on parle de 2 à 5% selon le niveau d’hygiène nécessaire.

Donc,

A l’instar de ce qui est pratiqué en Agro-Alimentaire pour les règles d’hygiène,

Il est possible

• d’améliorer l’acceptabilité des mesures sanitaires COVID19,
• de les intégrer dans un fonctionnement normal,
• d’assurer la qualité et la permanence de leur mise en place,
• d’en maîtriser les coûts,
• d’en faire le levier d’une amélioration du fonctionnement interne de l’entreprise et de son rayonnement citoyen.

Quelle que soit la structure concernée, cela passe par 3 étapes :

• sensibilisation du personnel
• compréhension des phénomènes
• conscience des enjeux
• analyse partagée des risques liés à chaque situation
• mise en place concertée de combinaisons de mesures imparfaites, mais globalement suffisamment efficaces.

Cette démarche est celle appliquée depuis des années par APPERTISE en Hygiène Alimentaire, et applicable à toute entreprise ou collectivité qui voudrait reprendre une activité normale en présence du virus.

En apportant son expertise technique unique et son grand sens de la pédagogie, APPERTISE propose de mobiliser les forces de votre structure autour d’un projet partagé de maîtrise des risques et des performances.

En apportant son expérience du management de proximité et de la communication, APPERTISE propose de valoriser auprès de votre personnel et de vos partenaires et clients les efforts déployés afin de restaurer la confiance, en interne et en externe.

APPERTISE vous propose de travailler avec vos équipes sur les contraintes sanitaires pour en faire des sources de progrès.

Contact :

jp.capitain@appertise.fr

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